3 idées fausses sur l’auto-édition

Qui n’a pas envie que son livre grimpe en tête des ventes ? Qui ne rêve pas d’être sollicité, interviewé, félicité pour sa création ? Et qui ne souhaite pas vivre de son travail, même un peu ? Vous n’avez pas écrit un livre pour le laisser dans un tiroir ! Mais l’avez-vous écrit pour de « bonnes» raisons ? Savez-vous vraiment ce que vous auto-éditer implique ? Si vous vous faites des idées fausses sur l’auto-édition, vous allez au devant de grosses désillusions.

 

3 idées fausses sur l’auto-édition

Si vous vous faites des idées, si vous ne rencontrez pas le succès rapidement, si vous essuyez refus après refus, etc. Votre moral va en pâtir, votre enthousiasme baisser, et vous risquez d’abandonner. Or, il faut vous accrocher.

Vous surmonterez mieux les difficultés si vous écartez d’emblée 3 idées fausses sur l’auto-édition :

 

« Avec mon livre, je vais gagner de l’argent. »

C’est une des premières idées fausses sur l’auto-édition. Accoucher d’un roman est chronophage, et ça demande des efforts d’imagination et d’écriture. Toutefois, vous risquez de vous faire du mal si votre intention première est de toucher le gros lot.

De nos jours, n’importe qui peut publier un livre (le faire bien, c’est une autre histoire). En conséquence, la concurrence est énorme et les publications régulières. Pour rencontrer le succès, il faut espérer deux choses:

  • Que votre livre corresponde aux critères élevés auxquels s’attendre (couverture de qualité, texte et mise en page soignés, etc.);
  • Que vous organisiez efficacement la promotion (planifier une campagne de pub, créer un site web, échanger sur les réseaux sociaux, etc.).

L’un ne garantit pas l’autre. Un pro de la pub se lançant dans l’écriture saura actionner les bons leviers pour vendre, même si son ouvrage n’est pas fameux. Le succès n’est jamais garanti à 100%, et un succès éclair, encore moins. Le mieux est d’être mû par la passion, la conviction que l’auto-édition est la voie qui vous convient.

 

 

« M’auto-publier, c’est très simple. »

Publier votre livre n’est qu’une étape parmi d’autres. Un auteur auto-édité est un peu un ronin (samouraï devenu paria dans l’ancien Japon) : il n’a ni voie ni maître. C’est à vous de tout faire pour que ça marche.

Pour vous faire connaître, retroussez vos manches et armez-vous de patience. En plus de publier, il faut songer à l’impression du livre, aux méthodes de vente, au dépôt légal auprès de la BNF, etc. Il faut aussi vous demander comment déclarer cette activité (et donc, comment déclarer vos revenus). Enfin, il y a la promotion de l’ouvrage. Il vous faut un plan marketing efficace, prévu sur le long terme, pour qu’on entende parler de votre livre et que les ventes décollent vraiment.

Si vous manquez de confiance ou d’habileté avec l’un de ces aspects, il faut trouver la bonne personne pour s’en charger à votre place.

 

« Je sais que j’écris bien, donc, tout ira bien. »

Penser que vous écrivez bien ne fait pas partie des préjugés en auto-édition à éviter. Mais attention, tous les goûts sont dans la nature. Un lecteur appréciant les livres de bien-être et de cuisine peut aussi aimer l’horreur psychologique. Mais si vous écrivez des thrillers musclés, il n’achètera pas votre livre. S’ils sont nombreux dans le même cas, c’est d’autant moins de ventes pour vous.

Vous devez vous adresser aux lecteurs potentiels pour en toucher un maximum. C’est à cela que sert notamment le référencement en ligne. Si l’on cherche un livre correspondant à votre œuvre et au(x) genre(s) au(x)quel(s) elle appartient, des mots clés savamment choisis permettent de la trouver facilement. Si, en plus, votre livre est soigné, il donnera encore plus envie de le lire.

 

Le mieux, c’est d’être bien accompagné

Rejetez les idées fausses sur l’auto-édition et posez-vous les bonnes questions pour augmenter vos chances de réussite. Si vous avez des lacunes, n’ayez pas honte. Personne n’est parfait. Votre livre est-il garanti sans fautes ? Êtes-vous satisfait de votre couverture ? Comment référencer efficacement votre œuvre ? Saurez-vous gérer la promotion de votre travail ? Si la réponse est «non», autant vous tourner vers quelqu’un qui s’y connaît : correcteur, maquettiste, web designer, etc. Pour trouver le professionnel qui vous aidera le mieux, vous pouvez consulter la liste des prestations de Karenine.

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